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Securex: « Pas de soucis de personnel »

Interview avec Annemie Callebaut de Securex. “Au début de la pandémie de coronavirus, j’ai compris que l’outsourcing à Teledesk Groupe était le meilleur choix. »

Securex sous-traite le travail administratif à Teledesk Group depuis 2011 déjà. « Au début de la pandémie de coronavirus, nous avons repris temporairement ces tâches et j’ai vraiment compris à ce moment-là que l’outsourcing à Teledesk était le meilleur choix », explique Annemie Callebaut, Claims Manager Insurance chez Securex.

Que fait concrètement Teledesk Group pour vous ?

Teledesk encode les données signalétiques des déclarations d’accidents de travail pour permettre à mon équipe de gestionnaires de sinistres d’ouvrir directement les dossiers de sinistres. Teledesk doit traiter chaque déclaration dans les deux jours ouvrables, ce qui signifie aussi qu’il doit pouvoir faire preuve de flexibilité lors des pics de travail.

Quels sont selon vous les principaux avantages de l’outsourcing ?

Le principal avantage pour moi en tant que manager est que je n’ai pas à me préoccuper de la disponibilité du personnel administratif. En cas de pic de déclarations ou si quelqu’un tombe malade, je fais entièrement confiance à Teledesk. Je ne dois pas non plus m’occuper du recrutement ou de la formation des nouveaux collaborateurs. Teledesk s’occupe de tout. Le deuxième avantage est que cela soulage les frais de personnel d’un poste de coûts important, ce qui laisse plus de marge pour la flexibilité.

Quels sont les atouts de Teledesk Group en tant que third party administrator ?

La société est très accessible et belge. Outre le fait qu’elle parle la même langue, elle sait aussi comment les entreprises belges travaillent et comment fonctionne notre sécurité sociale, ce qui est encore plus important. Elle sait donc aussi à quel point l’assurance accidents du travail est rigoureusement réglementée dans notre pays et que certaines données saisies parviennent directement à la Banque-Carrefour des Entreprises et à l’Office national de sécurité sociale. En d’autres mots, Teledesk a parfaitement conscience des responsabilités inhérentes à sa mission.

Tout se passe donc toujours pour le mieux dans le meilleur des mondes ?

Pas forcément. Il peut arriver que Teledesk ait aussi du mal à agir rapidement ou que quelques erreurs se glissent dans son travail, mais dans ce cas, nous nous téléphonons et le feed-back est rapidement pris en compte. Nous avons des accords formels sur papier, mais si notre collaboration fonctionne depuis tant d’années, c’est surtout grâce aux contacts informels et à la proactivité mutuelle.

Pourriez-vous envisager d’arrêter l’outsourcing pour Securex ?

Au début de la crise de coronavirus, nous n’avons plus sous-traité la moindre tâche pendant près de deux mois. Il fallait économiser 5 % sur les frais de consultance et il y avait aussi tout simplement beaucoup moins d’accidents du travail, mais nous avons très vite pris conscience de l’importance du soutien administratif de Teledesk. On devait constamment chercher des solutions pour terminer le travail en plus des tâches habituelles et le retard s’est très vite accumulé. Nous avons donc repris contact avec Teledesk après deux mois et je suis encore plus convaincu aujourd’hui que l’outsourcing est la meilleure solution pour notre société. À tel point que j’envisage encore de sous-traiter d’autres tâches.

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